FAQ – Foire aux questions

FAQ – Foire aux questions

En consultant le matériel de référence (manuels, brochures, glossaires, etc.) que vous nous fournissez, le traducteur peut employer le style, le langage et la terminologie propres à vos activités.

Votre feed-back est essentiel. Il nous aide à fournir des traductions irréprochables qui se lisent comme des textes originaux.

Chaque projet est confié à une équipe composée d’un traducteur et d’un réviseur. Ceux-ci passent d’un rôle à l’autre afin d’adopter le style requis par le projet ou par le client. Une fois la traduction approuvée par le client, ce tandem est « jumelé » en vue de garantir et améliorer la qualité du service fourni.

Trois facteurs clés entrent en jeu :

  • maîtrise de la langue source et de la langue cible ;
  • connaissance du jargon du client (traduction confiée à des équipes qui maîtrisent le sujet) ;
  • évaluation des traducteurs avant leur sélection.

Nous traduisons pour des entreprises et organisations de toutes les tailles, actives dans tous les segments, et ce depuis plus de 30 ans. Forts de cette expérience, nous offrons un large éventail de spécialisations linguistiques et sommes à même de traduire vos documents techniques, quel que soit leur degré de difficulté.

Dans le domaine juridique, il y a lieu d’opérer une distinction entre trois concepts différents :

  1. La traduction juridique proprement dite, c’est-à-dire une traduction ayant un caractère juridique. Dans ce cas, la traduction est confiée à un traducteur spécialisé et est uniquement livrée au client après vérification par nos soins.
  2. La traduction assermentée ou jurée, qui a une implication juridique. Le processus de traduction peut prendre plus longtemps que pour une traduction ordinaire et requiert un traducteur non seulement spécialisé mais aussi enregistré auprès d’une autorité administrative judiciaire, à savoir le tribunal de première instance. La traduction assermentée nécessite quelques jours de plus que la traduction juridique en raison des procédures administratives à suivre.
  3. La traduction assermentée et légalisée, qui a des implications juridiques supplémentaires par rapport à une simple traduction assermentée. Ce type de traduction peut être exigé par certaines institutions. Votre document doit avoir force de loi, soit en Belgique, soit à l’étranger. Dans le premier cas, le tribunal de première instance certifie que la signature du traducteur assermenté pour ce document est juridiquement valable en Belgique. Pour avoir force de loi à l’étranger, le document doit toutefois être soumis à deux autres autorités judiciaires (en plus du tribunal de première instance), à savoir le Ministère de la Justice et le Ministère des Affaires étrangères. Dans certains cas, cette liste inclut également le Consulat (la légalisation par le Ministère de la Justice et des Affaires étrangères peut alors ne plus être nécessaire). La légalisation d’une traduction destinée à des pays tiers peut prendre 3 à 4 jours.

Une mission d’interprétation ne consiste pas seulement à envoyer un traducteur sur place. Ici aussi, plus vous nous fournissez d’informations lors de votre demande, au mieux nous pourrons répondre à vos besoins. Il convient de définir ce qui suit dès le départ :

  1. Le type de service d’interprétation requis :
    • Interprétation simultanée : l’interprète rend le message dans la langue cible en même temps qu’il est prononcé.
    • Interprétation consécutive : l’interprète reproduit le message en partie ou en entier une fois qu’il a été prononcé, en consultant les quelques notes qu’il a prises pendant l’énoncé.
    • Interprétation de liaison : l’interprète travaille la plupart du temps sans prendre de notes ; il mémorise de courts passages et les restitue dans la langue cible. Ce style d’interprétation est surtout utilisé dans des situations informelles (dans le contexte de réunions, visites, etc.).
  2. Une ou plusieurs directions : les interprètes doivent-ils uniquement restituer le message de l’orateur à l’intention du public ou doivent-ils traduire dans les deux directions (par exemple, si la parole est donnée au public dans le cadre d’une séance de questions-réponses) ?
  3. La durée : les interprètes doivent en moyenne être remplacés après 20 minutes de travail. C’est la raison pour laquelle toute demande d’interprétation implique systématiquement des équipes d’au moins deux interprètes. Certains interprètes sont capables de travailler en continu pendant 1 heure, après quoi ils doivent s’arrêter de travailler.
  4. L’équipement et la taille du public :
    • L’équipement est-il disponible ou doit-il être fourni ?
    • Pour un groupe de 20 personnes maximum (salle de réunion), nous pouvons vous louer une valise d’interprétation.
    • À partir de 20 participants, l’utilisation d’une cabine est essentielle pour les interprètes.
  5. Le matériel de référence : il s’agit de toute la documentation (briefing, réunions, matériel de présentation, hyperliens, etc.) liée au sujet de la mission. Ce matériel permet à l’interprète de maîtriser les moindres détails du sujet et de fournir une traduction d’excellente qualité.

L’utilisation de ces formats est facultative quand la mise en page n’est pas un critère spécifié. Dans d’autres cas, le format joue un rôle crucial ; il peut en effet avoir une incidence sur le temps nécessaire au traitement des documents et augmenter le coût total du projet de traduction. L’utilisation d’outils d’aide à la traduction permet de réaliser des économies substantielles quand le format source est « prêt à l’emploi ».

D’où l’importance de savoir comment préparer vos documents en vue de leur traduction. Envoyez-nous vos fichiers sources en évitant si possible les documents PDF.

Une relecture vise à vérifier l’orthographe et la grammaire d’un document et éventuellement à adapter le style, tandis qu’une révision consiste à comparer un document original et sa traduction. La mission du réviseur est bien entendu de contrôler la grammaire, l’orthographe et le style de la traduction mais aussi, et plus particulièrement, de vérifier l’utilisation de la terminologie du client. En d’autres termes, le réviseur vérifie que le texte est traduit avec précision et qu’il véhicule correctement le message du texte source.

Pour répondre à cette question, on peut distinguer deux aspects. Le premier est ce qu’on appelle le matériel de référence, c’est-à-dire tous les documents multilingues en rapport avec votre entreprise ou votre secteur d’activité. Cette documentation sert de base de travail pour produire votre contenu multilingue.

Le second aspect est la terminologie spécifique aux sujets abordés dans votre matériel de référence. L’objectif ultime est de définir et collationner cette terminologie de sorte qu’elle soit utilisée de manière uniforme et garantisse ainsi la cohérence de votre communication.

Ces deux aspects sont rassemblés pour créer une mémoire de traduction ou base de données contenant des éléments spécifiques à vos activités : terminologie, expressions, segments de traduction, noms ou abréviations de marques, etc. Le contenu stocké dans cette mémoire de traduction sera utilisé dès qu’une nouvelle traduction est commandée, afin de récupérer des éléments déjà traduits. Cette approche garantit une gestion optimale de votre contenu multilingue.

Il suffit pour ce faire de créer un fichier multilingue contenant autant de colonnes qu’il y a de langues à traduire. Ce fichier servira de base terminologique utilisée en conjonction avec les outils d’aide à la traduction.

Quelques mots d’explication : il y a lieu de distinguer les glossaires multilingues (GM) et les mémoires de traduction (MT).

Le GM est une liste de termes isolés.

Exemple d’un glossaire pour la combinaison FR-EN :
plage = beach
montagne = mountain

La MT est un fichier contenant des segments (phrases) qui permet de rechercher des « matches » (« % Match ») en comparant le segment de texte à traduire et les segments disponibles dans la MT.

Il existe 3 types de « matches » : le « Fuzzy Match », le « 100%/Perfect Match » et le « Context Match ».

Exemple de « Fuzzy Match » : Je vais à la plage en Beetle vs Je vais à la plage en voiture. La correspondance est d’environ 75 % ; elle est donc considérée comme un « 75% Match ».

Un « 100% Match » implique une correspondance totale entre les deux segments (ils sont identiques). Par exemple : Je suis honnête vs Je suis honnête.

Pour être considéré comme un « Context Match », le segment de la mémoire de traduction doit correspondre à 100 % au segment du document et ils doivent tous deux être précédés du même segment (dans la mémoire de traduction et dans le document).

L’outil suggérera alors des traductions possibles au traducteur sur la base du « match ».

Un document est généralement écrit à une fin bien spécifique et suivant des critères prédéfinis qui influent fortement sur la nature, le format, la mise en page et le style de son contenu. Si l’évaluation de la qualité implique une certaine subjectivité de la part du lecteur, il est tout à fait possible d’évaluer correctement et objectivement le résultat en tenant compte des éléments suivants :

  • La traduction consiste à adapter un texte écrit dans une langue vers une autre langue, dans le but de restituer le sens exact dans la langue cible, dans un style qui se lit facilement et qui paraît naturel. Une traduction libre est une adaptation naturelle du texte original, où les critères de style dépendent fortement du sujet. Un texte juridique ou technique laisse en effet moins de marge de manœuvre au niveau stylistique qu’un texte marketing ou commercial.
  • Le copywriting est un exercice d’écriture qui vise à donner une tournure particulière à un message dans un domaine donné, en vue de répondre à un certain besoin ou d’atteindre un but spécifique : informations publiques, narration, publicité marketing à fort impact, inclusion sur un site web, etc. Ce travail n’est possible que moyennant un briefing détaillé sur les objectifs de communication et les groupes cibles.

Absolument. En général, les délais et les coûts sont directement proportionnels aux langues sources et cibles. Autrement dit, si les langues sources et cibles ne sont pas courantes (dialectes, langues tribales, etc.), une traduction intermédiaire dans une langue plus connue (appelée « langue pivot » ou « langue relais ») sera très probablement nécessaire.

Voici trois éléments qui devraient vous rassurer :

  1. Le travail ne vous est livré définitivement qu’une fois que nous avons reçu la confirmation de votre satisfaction.
  2. Nos procédures sont certifiées ISO 9001:2015. L’application de procédures professionnelles inspirées des meilleures pratiques reconnues à l’échelle internationale constitue notre deuxième assurance qualité.
  3. Last but not least… la traduction proprement dite n’est que la partie visible de l’iceberg. Analyser, comprendre, établir un devis, proposer, conseiller, sélectionner, adapter, produire, gérer, tester, corriger, garantir, livrer et assurer le suivi… autant d’éléments clés que nous déployons pour l’ensemble de nos projets. Nous avons choisi de fournir un service de qualité, étayé par plus de 30 ans d’expérience éprouvée dans les solutions multilingues.

Le tableau suivant présente les délais de livraison en fonction du volume à traduire. Cet exercice de simulation est basé sur une moyenne de 250 mots par page.

VolumeDélai d’exécution (normal)Délai d’exécution (urgence)
1 page1 jour ouvrable
4 heures
10 pages2 jours ouvrables
1 jour ouvrable
50 pages6 jours ouvrables
5 jours ouvrables
200 pages26 jours ouvrables
18 jours ouvrables
500 pages64 jours ouvrables
46 jours ouvrables
1 000 pages129 jours ouvrables
91 jours ouvrables

Tradas considère le respect des délais comme une partie intégrante de ses procédures d’assurance qualité. Un planning réaliste est établi sur la base du temps nécessaire pour la traduction et la révision. Voici trois scénarios typiques :

  • Délai standard : la capacité moyenne d’un traducteur varie de 2 500 à 3 000 mots par jour ouvrable, à compter du moment où le processus de traduction est lancé.
  • Textes répétitifs : nos outils d’aide à la traduction peuvent accélérer le processus de traduction (capacité journalière de 4 000 à 5 000 mots). Dans ce cas, une analyse électronique est réalisée afin de déterminer les taux de répétition de vos documents. Cela n’est toutefois possible que si le format de vos documents sources est compatible avec nos outils d’aide à la traduction (.docx, .pptx, .xml…).
  • Urgences : en cas d’urgence, nous pouvons bien entendu confier la prise en charge de votre document à plusieurs équipes de traducteurs. Toutefois, nous déconseillons en général cette solution à nos clients, étant donné que cela nuit à la cohérence stylistique et terminologique de vos documents. Dans ce troisième scénario, la productivité dépendra du nombre d’équipes mobilisées et de l’utilisation d’outils d’aide à la traduction qui boostent la productivité.

Oui, nous faisons uniquement appel à des traducteurs natifs dont la langue maternelle est la langue cible des documents que nous leur confions, et ce pour les raisons suivantes :

  • Une maîtrise parfaite de la langue, y compris une compréhension aiguë du jargon et des expressions idiomatiques, permet de produire une traduction impeccable.
  • Une connaissance du contexte socioculturel permet au traducteur de produire un document qui se lit comme s’il avait été initialement écrit dans cette langue – une traduction qui respire l’authenticité grâce à une compréhension approfondie des connotations linguistiques.

Il s’agit de deux prestataires de services complètement différents qui œuvrent souvent de concert pour vous offrir le service dont vous avez besoin. Voici un tableau comparatif évaluant les principaux critères de service (+ = limité ; ++ = compétitif ; +++ = meilleur).

CritèreSociétéFreelance
Compétence multilingue
++++
Spécialisation++++
Consultance++++
Gestion de projets
++++
Service client
++++++
Outils+++++
Volume++++
Délais++++
Prix+++++
Qualité+++++
Garantie++++

Ce tableau montre clairement que la société de traduction et le traducteur freelance n’offrent pas le même type de services, mais il ne spécifie pas les rôles et responsabilités de chacun ni la relation qui les unit, qui leur permet de travailler en parfaite harmonie dans les intérêts de tous, en particulier ceux du client final. La société de traduction joue un double rôle : celui de prestataire de services pour le client final et celui de porteur de projets pour les traducteurs freelance.

Les traducteurs freelance jouent quant à eux également un double rôle : celui de prestataire de services pour la société de traduction et celui de prestataire de services pour le client. Ce dernier peut donc profiter du meilleur de deux mondes en faisant appel aux services des deux types de prestataires en fonction de ses besoins. En bref, la société de traduction fournit des services de consultance et de gestion de contenu multilingue à de petites, moyennes ou grandes entreprises en poursuivant un objectif à long terme.

Les traducteurs freelance ont quant à eux une offre plus étroite en termes de services, garantie et durabilité, essentiellement du fait de leur capacité (humaine ou matérielle) limitée. Une société de traduction est mieux préparée, mieux équipée et plus expérimentée pour gérer des projets multilingues dont l’ampleur et la complexité ne constituent pas des contraintes spécifiques. Cela lui permet de se positionner, d’une part, comme un partenaire de services stratégique pour les entreprises et, d’autre part, comme un porteur de projets pour les traducteurs freelance.

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